Les sœurs Auxiliatrices de la Charité
Fondateurs : Jean-Emile ANIZAN et Thérèse JOLY
Fondée le 15 octobre 1926 par le père Jean-Emile Anizan et Thérèse Joly.
Les Soeurs sont missionnaires dans les quartiers populaires.
La Congrégation des Auxiliatrices de la Charité sont membres de la Famille spirituelle Anizan.
Présentation des Soeurs Auxiliatrices de la Charité
Nous sommes appelées à vivre et témoigner de l’amour de Dieu dans les milieux populaires pour que naissent des communautés de croyants.
Missionnaires contemplatives, notre charisme nous engage à unir et à vivre dans un même acte de foi, selon l’Esprit du Carmel, l’amour des frères et la contemplation de l’amour de Dieu.
Logo des soeurs Auxiliatrices de la Charité
Historique
Fondées en 1926 par le Père Jean Emile Anizan et Thérèse Joly nous sommes missionnaires contemplatives.
Dans nos quartiers, au travail, nous voulons rejoindre les attentes et les recherches des hommes, des femmes, des jeunes, pour promouvoir la dignité de chacun et la justice pour tous.
Rester solidaires est un réel défi.
Présence dans le monde
En France : à Aubervilliers (93), Beuvrages (59), Bobigny (93), Paris 11è, Villejuif (94).
Et aussi des sœurs en foyers logements à Drancy (93), Clichy (92), Vitry (94), Yerres (91) et en maison de retraite à Quincy-sous-Sénart (91), Villecresnes (94), Cachan (94), Chevilly Larue (94).
A Palmela au Portugal.
Chapitre général 2019 des soeurs Auxiliatrices de la Charité
Mission des Auxiliatrices de la Charité
Nous rejoignons des équipes catéchuménales, des mouvements d’Action catholique, des groupes de réflexion sur l’évangile, des équipes de révision de vie, des équipes d’animation paroissiales et d’animation en maisons de retraite ou foyers logement. Nous invitons des voisins à notre prière communautaire…
Nous favorisons “l’entre-eux” des jeunes. Selon les pays, et les cultures, nous proposons : week-ends de réflexion, accompagnements au sein de la JOC, rencontres : groupe de prière, découverte de la Parole, Pastorale vocationnelle…
Ensemble, nous avons à cœur que les personnes en grande difficulté, se sentent reconnues et « chez elles, en Église ».